
Mariam Batsashvili a fait ses débuts dans notre Salle Bleue alors qu'elle avait à peine 22 ans. Ceux qui étaient présents savent qu'un récital de cette pianiste géorgienne est une expérience époustouflante. Et ceux qui l'ont raté à l'époque ont enfin, après six années d'absence, l'occasion d’y remédier. Depuis sa première place au Concours Liszt, les œuvres de ce compositeur sont incontournables pour la pianiste. À Anvers, elle complète le triptyque théâtral composé de Vallée d'Obermann, Bénédiction de Dieu dans la solitude et la Rhapsodie hongroise n° 10 d'une sonate de Beethoven et d'une autre de Mozart. Avec Nostalgia de Vaja Azarashvili, elle met aussi à l'honneur un héros musical de son pays natal, la Géorgie.
